Laurine Personeni
Total 179 Articles
Services à la personne - Les aides à domicile de plus en plus rares
Le métier d’aide à domicile et d’auxiliaire de vie reste le plus recherché dans le bassin mortuacien. L’A.D.M.R. travaille depuis plusieurs années sur l’attractivité du métier qui souffre d’une image dégradée
Daniel Gilbert - “Il n’y a pratiquement plus de rivières en bon état en Franche-Comté”
Enterrement de la Loue, mortalité piscicole, assec estival du Doubs, plan rivières karstiques… Régulièrement, la problématique de l’eau refait surface et engendre questions et angoisses.
France Travail - “Travailler autour de l’immersion pour pallier les carences de main-d’oeuvre”
Jean-François Locatelli, directeur départemental de France Travail apporte ses éclairages sur les besoins en main-d’oeuvre des entreprises et l’accompagnement des entreprises pour trouver des candidats
DOSSIER CAD 316 - LE HAUT-DOUBS RECRUTE MOINS ET PLUS DIFFICILEMENT
ous les ans, France Travail publie une enquête sur les besoins en main-d’oeuvre des entreprises dans le Doubs. Sur le bassin de Morteau, 1 270 intentions d’embauches ont été déclarées en 2025, c’est moins qu’en 2024. En revanche, les difficultés de recrutement augmentent.
Le Bélieu - La matériauthèque en phase de test
En attendant que le pôle Réemploi et économie circulaire finisse de sortir de terre, Préval a lancé un incubateur de matériauthèque avec une spécialisation dans les sanitaires. La phase de test doit permettre d’apporter des données pour dessiner cette filière du réemploi.
“L’Atelier du Bélieu doit assurer la gouvernance du pôle Réemploi”
Depuis le 21 mai, l’association l’Atelier du Bélieu est née. Fruit d’une participation citoyenne, elle doit assurer la gouvernance du futur pôle Réemploi et économie circulaire du Bas-de-la-Chaux
Fuans - Un troisième radar pour freiner les automobilistes trop pressés
Un radar semi-fixe a été installé sur la R.D. 242 à Fuans. Sur cette route appelée le “raccourci de Fuans”, la circulation journalière est très dense. L’objectif est donc de limiter la vitesse sur cette portion qui reste accidentogène