Le Festival de la Morteau prépare sa troisième édition. Elle aura lieu les 6 et 7 septembre, avec une bonne douzaine d’associations participantes au centre-ville de Morteau ainsi que le grand retour du défilé des confréries. "Le public a répondu présent pour les deux précédentes éditions, nous espérons que cette dynamique se confirmera pour cette troisième édition" observe Anthony Personeni, le président de l’association V.D.O. (Val Délire Organisation) à la manœuvre pour l’organisation de cette fête populaire qui reçoit le soutien de la Ville de Morteau.

Anthony Personeni, de l’association V.D.O., présente les peluches du Festival. Reste à leur trouver un petit nom !

Mais dans un contexte économique devenu plus tendu, il n’est pas toujours évident pour les associations de boucler le budget d’un événement. C’est la raison pour laquelle l’association V.D.O. a fait fabriquer une série de peluches à l’effigie de leur mascotte grand format qui se balade sur le festival pendant les deux jours. "Nous avons fait fabriquer 500 peluches, elles seront vendues au prix de 15 euros et nous permettront de compléter le budget de la manifestation. Nous offrons un événement 100 % gratuit au public tout en permettant aux associations qui ont un stand de faire des bénéfices. La vente de ces peluches est un coup de pouce à l’organisation, c’est une manière de soutenir l’événement" résume le président de V.D.O.

Ces peluches n’ont pas encore de petit nom. "Nous inviterons les gens à voter sur un nom via les réseaux sociaux." Si leur succès est au rendez-vous, il n’est pas exclu que ces peluches soient produites à plus grande échelle et devenir, pour les salaisonniers ou les autres magasins de Morteau, un souvenir à vendre pour les touristes de passage par le Haut-Doubs.

Publicité - Boostez vos ventes grâce aux bons cadeaux ckdo.pro

Cet article vous est proposé par la rédaction du journal C'est à dire, distribué à + de 30 000 exemplaires sur le Haut-Doubs.
Pour devenir annonceur et booster votre visibilité, cliquez sur l'image ci-dessous
Publicité journal C'est à dire