Depuis la sortie du numéro 1 de C’est à dire en juin 1996 jusqu’à aujourd’hui, il s’est passé 27 ans et donc 300 numéros, et une belle évolution pour l’agence Publipresse Médias à Morteau.

La sortie de ce 300ème numéro de C’est à dire a une saveur particulière pour toute l’équipe de l’agence Publipresse Médias, la société éditrice de ce journal, qui chaque mois, prend le plus grand soin à diffuser les informations qui font la vie du Haut-Doubs en mettant en avant, autant que possible, les initiatives des forces vives qui animent et font vivre ce territoire.

Si le journal C’est à dire a pu ainsi traverser cette longue période, c’est d’abord grâce à la fidélité et à l’attachement de ses lecteurs, nombreux. On estime qu’un journal C’est à dire passe en moyenne entre les mains de trois lecteurs différents, soit près de 90 000 personnes qui le parcourent, le lisent voire le décortiquent chaque mois !

Toute l’équipe de l’agence Publipresse Médias, basée à Morteau, éditrice du journal C’est à dire.

La pérennité de C’est à dire, on la doit aussi à tous les annonceurs qui considèrent - sans doute à juste titre ! - que ce journal reste le support de communication numéro 1 dans le Haut-Doubs. Doublée de son édition web - www.c-a-d.fr -, la version papier de C’est à dire entre chaque mois dans plus de 30 000 foyers du Haut-Doubs, de son berceau d’origine, le Val de Morteau, jusqu’au Plateau de Maîche, aux Portes du Haut-Doubs dans le secteur de Valdahon, et aux confins du Saugeais.

juin 1996 - décembre 2023
300 numéros - 100% d'informations locales

Peut-être que certains lecteurs se demandent pourquoi, à l’ère du tout numérique, C’est à dire reste un journal papier ? Parce que d’une part cela reste indéniablement la meilleure formule pour un support d’information à périodicité mensuelle, que d’autre part les annonceurs sont également plus visibles sur un support papier que l’on empoigne, feuillette et reprend en main, et qu’enfin, il permet une visibilité indéniablement meilleure de son contenu.

Depuis 27 ans, le journal C’est à dire a fait des petits, ailleurs sur le territoire franc-comtois. La Presse Pontissalienne et La Presse Bisontine, deux autres titres d’informations locales, Le Doubs Agricole, un magazine diffusé à tous les acteurs de l’agriculture du département, et En Mode Action, un magazine cette fois destiné à tous les élus du Doubs.

Dans la même période, Publipresse Médias a suivi les évolutions technologiques en devenant un acteur important du multimédia dans notre région, doublé d’une agence de communication et de création graphique réputée pour la pertinence de ses travaux et le professionnalisme de ses équipes.

Publipresse, votre agence de communication globale à Morteau

Bref, Publipresse Médias est une belle aventure humaine et professionnelle que nous souhaitions vous faire partager à travers ce numéro 300 pour lequel, à tous, lecteurs, annonceurs et collaborateurs de Publipresse, nous souhaitions dire MERCI ! 😀

Journal C’est à dire
Le journal gratuit du Haut Doubs Horloger

Le petit mot d’Edwy Plenel, notre “parrain”

"J'ai connu il y a plus de vingt-cinq ans Jean-François Hauser et l'équipe fondatrice du Groupe Publipresse (Le journal C'est-à-dire, La Presse Bisontine, La Presse Pontissalienne…). Alors à la direction du quotidien Le Monde, j'avais reçu des jeunes qui allaient se lancer dans un défi aussi audacieux que nécessaire : faire vivre une presse indépendante au plus près des territoires qu'elle couvre et des populations auxquelles elle s'adresse.

Défi relevé et pari réussi. En nos temps incertains où, amplifiée par les bouleversements technologiques, la dictature de l'opinion risque d'étouffer la liberté de l'information, nous avons plus que jamais besoin de journalistes qui soient au rendez-vous de leur mission d'intérêt public : servir notre droit de savoir, nous aider à y voir clair, rendre compte du réel dans sa complexité, travailler au plus près de la vérité des faits. Fragiles, les démocraties peuvent mourir si l'obscurité gagne, celle des idéologies et des propagandes, des haines et des peurs.

Soutenir un journalisme libre et une presse indépendante, c'est défendre cet idéal commun dont l'égalité des droits est le socle"

Edwy Plenel
Fondateur et directeur de Médiapart


Cet article vous est proposé par la rédaction du journal C'est à dire, distribué à + de 30 000 exemplaires sur le Haut-Doubs.
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